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Dessins et plans, Histoire médiévale, Charlemagne (empereur d'Occident, 0742-0814), Clovis Ier (roi des Francs, 0465-0511), Wisigoths, Cartes historiques, Empire franc
Carte de l'empire franc de 481 à 814 ; en rouge, limites du royaume wisigoth de Toulouse en 507.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Arbres généalogiques, Émile Zola (1840-1902), Les Rougon-Macquart - Émile Zola (1840-1902)
Arbre généalogique des Rougon-Macquart, 1878. Les Rougon-Macquart est une famille imaginaire, vivant en France sour le Second Empire (1851-1870) et inventée par Émile Zola (1840-1902) pour son cycle de 20 livres "Les Rougon-Macquart".
Dessins et plans, Oranges, Oranger, soleil, Abeilles, Oliviers, Blasons, France (Empire) (1804-1814), Nice (Alpes-Maritimes)
Blason de Nice sous le premier Empire : D'argent au lion passant de gueules, surmonté d'un soleil rayonnant du même, adextré d'un olivier et sénéstré d'un oranger de sinople, le dernier fruité d'or, au chef de gueules chargé de trois abeilles d'or.
Clip art, Empire carolingien (Charlemagne) (768-814), Cordoue (califat), Empire carolingien, France (Carolingiens) (687-987), Huitième siècle, Ibérique, Péninsule, Omeyyades d'Espagne, Omeyyades (dynastie)
Carte de la péninsule ibérique en 750 : l'empire carolingien au nord, les Asturies au nord-ouest et le califat omeyyade en pleine expansion. Les noms de ville sont en espagnol, à l'exception de Toulouse, mais facilement identifiables.
Photographie, Châteaux -- France, Châteaux, Dix-huitième siècle, Dix-huitième siècle -- Histoire, Architecture, Châteaux (France) -- France -- Seine-Maritime, Hautot-sur-Seine (Seine-Maritime)
Chateau de Hautot-sur-Seine, Seine Maritime, exemple parfait du classicisme sous Louis XV, a été construit pour les Le Couteulx, puissante famille de Finances de Rouen. Les lucarnes de la façade ont été remaniées au Second Empire. L'édifice a été attribué à la Sous-Préfecture après la Seconde Guerre mondiale, tandis que les espaces intérieurs étaient profondément modifiés. La commune est désormais propriétaire et loue l'ensemble pour des réceptions. À noter, faisant partie de l'ensemble, un pavillon de musique au bout de la terrasse, mais hélas dans un état de délabrement avancé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hautot-sur-Seine
Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.
Photographie, Clés (serrurerie), Lyon (Rhône), France (Empire) (1804-1814), Artistes français, Lyon (Rhône) -- Histoire, Objets en bronze
Les trois clés en bronze doré de la ville de Lyon qui représentent les trois divisions (ouest, midi, nord) de la ville sous le premier Empire (1804-1814). Elles ont été réalisées pour la venue à Lyon de l’Empereur Napoléon Ier et de l’Impératrice Joséphine.
Gravure, Fous et bouffons, Histoire, Seizième siècle, Collections de costumes, Allemagne -- 1519-1556 (Charles Quint), Lansquenets, Révoltes paysannes
Planche 65, Costumes allemands du début du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-6, paysans de la ligue de la chaussure ; 7, paysanne ; 8-9, musiciens (instruments à vent) ; 10, 12, citoyens ; 11, Electeur Jean Fédéric Ier de Saxe (protecteur de Luther) ; 13, évêque ; 14, chevalier ; 15, bouffon ; 16, Georges Frundsberg, commandant en chef de Charles Quint. La guerre des Paysans allemands (en langue allemande : Deutscher Bauernkrieg) est un conflit qui a eu lieu dans le Saint-Empire romain germanique entre 1524 et 1526 dans des régions de l’Allemagne du Sud, de la Suisse, de la Lorraine allemande et de l’Alsace. On l’appelle aussi, en allemand, le Soulèvement de l’homme ordinaire (Erhebung des gemeinen Mannes), ou en français la révolte des Rustauds. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_Paysans_allemands.
Gravure, Histoire, Dix-neuvième siècle, Napoléon Bonaparte (1769-1821), France (Empire) (1804-1814), Premier Empire, Collections de costumes, Allemagne -- Conditions sociales (19e siècle), France -- Conditions sociales (19e siècle)
Planche 102, Costumes civils français et allemands du début du dix-neuvième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Impératrice Joséphine ; 2, Napoléon I en 1804 ; 3, ministre en 1806 ; 4-22, dames et messieurs entre 1807 et 1829.
Gravure, Histoire médiévale, Empire carolingien (Charlemagne) (768-814), France (Charlemagne) (768-814), Collections de costumes, Antiquités carolingiennes, Bénédictins, Empire carolingien -- Civilisation
Planche 26, Costumes de francs du huitième et du neuvième siècles, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, 5-7, 11, aristocrates et princesses ; 4, 10, soldats ; 8, moine bénédictin ; 9, impératrice (morte en 800) ; 12, Charlemagne.
Peinture, Villages, Peintres français, Histoire, France (Révolution) (1789-1799), Églises (édifices), Églises -- France, France (Empire) (1804-1814), Premier Empire
Désaffectation d'une église pendant la Révolution, 1794, Musée Carnavalet à Paris. Jacques François Joseph Swebach-Desfontaines (1769-1823) est un peintre et dessinateur du Premier Empire.
Dessins et plans, Empire carolingien (Charlemagne) (768-814), Cartes topographiques, Francs, Royaume des Francs, Royaume des Francs (Clovis I) (481-511), Royaume des Francs (511-561), Royaume des Francs (561-613)
Carte de l'expansion de l'empire des Francs de 481 à 814. Source : "Atlas Historique" de William R. Shepherd (Shepherd, William. Historical Atlas. New York: Henry Holt and Company, 1911.)
Peinture, Histoire, Seizième siècle, Peintres portraitistes, Peintres italiens, Alliances militaires, François Ier (roi de France, 1494-1547), Empire ottoman -- 1520-1566 (Soliman I), Titien (1489?-1576)
François Ier et Soliman le Magnifique, 1530, par Le Titien (1489?-1576). En 1542, François Ier chercha à renouveler l'alliance avec l'Empire ottoman pour lutter contre les Habsbourg. Soliman envoya cent galères menées par Barberousse pour aider les Français dans l'ouest de la Méditerranée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Soliman_le_Magnifique.
Dessins et plans, Wisigoths, Royaume des Francs -- Histoire, Cartes historiques, Goths, Huns, Ostrogoths, Vandales
Grandes invasions dans l'Empire romain du second au cinquième siècle : Angles, Jutes et Saxons en jaune ; Francs en orange ; Goths, Wisigoths et Ostrogoths en nuances de violet ; Huns en vert ; Vandales en bleu.
Dessins et plans, antiquité, Francs, Wisigoths, Empire romain, Goths, Huns, Ostrogoths, Vandales, Anglo-Saxons (peuple germanique), Invasions des Barbares
Grandes invasions de l'Empire romain : Angles et Saxons, Francs, Goths, Wisigoths, Ostrogoths, Huns, Vandales.
Inauguration du petit chemin de fer-omnibus du Cours-la-Reine en 1853.
Peinture, Paris (France), Histoire, Dix-neuvième siècle, Alfred Roll (1846–1919), Architectes paysagistes, Constructions de jardins, Jardins français, Jean-Charles Alphand (1817-1891), Portraitistes
Portrait de Jean-Charles Adolphe Alphand (1817-1891) par Alfred Roll (1846–1919), peintre officiel de la Troisième République. Jean-Charles Alphand est un ingénieur des ponts et chaussées connu pour son travail d'embellissement de Paris. En 1853, il est appelé par baron Haussmann comme ingénieur en chef au service des promenades et dès lors participe aux transformations de Paris sous le Second Empire en compagnie de son confrère Eugène Belgrand et du jardinier Jean-Pierre Barillet-Deschamps. Il y crée des promenades, des parcs et des jardins destinés à embellir et assainir Paris. Il remodèle également les bois de Vincennes et de Boulogne. À la destitution du baron Haussmann le 5 janvier 1870 il reste en poste et à la chute du Second Empire, il est maintenu directeur des travaux de Paris. À la mort d'Haussmann, en 1891, il fut élu à l'académie des Beaux-Arts et occupa le fauteuil d'Haussmann.
Dessins et plans, Fonds de cartes, Méditerranée (mer), Méditerranée (région), Rome (Empire) (30 av. J.-C.-476), Méditerranée, Côte de la, Méditerranée (France), Côte de la, Méditerranée, Îles de la, Aquitaine (province romaine)
Carte de l'empire romain à partir de 116 ap. JC., l'Aquitaine en rouge. Noms en latin : MARE INTERNUM pour la Mer Méditerranée, Mare Adriaticum pour la Mer Adriatique, Pontus Euxinus pour le Pont-Euxin (Mer Noire), Oceanus Atlanticus pour l'Océan Atlantique, Oceanus Germanicus pour l'Océan Germain (Mer du Nord).
Textes, Dix-neuvième siècle, Arbres généalogiques, Émile Zola (1840-1902), Les Rougon-Macquart - Émile Zola (1840-1902), Hérédité et milieu, Physiologie humaine
Note préliminaire à "Une page d'amour" concernant l'Arbre généalogique des Rougon-Macquart, 1878. Les Rougon-Macquart est une famille imaginaire, vivant en France sour le Second Empire (1851-1870) et inventée par Émile Zola (1840-1902) pour son cycle de 20 livres "Les Rougon-Macquart". (525 mots)
Dessins et plans, Fonds de cartes, France, Henri II (roi d'Angleterre, 1133-1189), Douzième siècle, Grande-Bretagne (Angevins) (1154-1216), Grande-Bretagne (Plantagenêts) (1154-1399)
Carte de l'empire des Plantagenêt, dit empire angevin (Carpenter; "The Struggle for Mastery", p.xxi) : l'ensemble d'États s'étendant des confins anglo-écossais aux Pyrénées et de l'Irlande au Limousin et réunis au milieu du XIIe siècle par Henri II Plantagenêt. Carte légendée en anglais : Duché de Bretagne ; Duché de Normandie ; Anjou, Maine et Touraine ; Duché d'Aquitaine, Duché de Gascogne ; en bleu Domaine royal et vassaux du roi de France ; en jaune, Duché de Toulouse.
Dessins et plans, Histoire, Europe, Géographie historique -- Cartes, Napoléon Ier (empereur des Français, 1769-1821)
L'empire français de Napoléon Ier en 1811 : en marron, 130 départements ; en orange, états sous protectorat français.
Dessins et plans, Cirques, Cartes topographiques, Dix-neuvième siècle, Architecture, Paris (France) -- Avenue des Champs-Élysées
Le cirque d'été (Jacques Hittorff, 1841), sur un détail d'une carte de Paris de 1869, "Plan géométral de Paris et de ses agrandissements à l'échelle d'un millimètre pour 10 m". Sous le second empire, Jacques Hittorff collabore aux grands travaux du baron Haussmann. Il est à l'origine de plusieurs réalisations à Paris : le réaménagement du bois de Boulogne, l'actuel théâtre du Rond-point des Champs-Élysées, le Cirque d'hiver, des immeubles rue de Rivoli, la mairie du 1er arrondissement de Paris. En outre, il est l'architecte de la gare du Nord.
Dessins et plans, Dix-neuvième siècle, France (Second Empire) (1852-1870), La Révolution française et le XIXème siècle, Napoléon III, Napoléon III (empereur des Français, 1808-1873)
Portrait de Napoléon III par Adolphe Yvon. L'empereur français est représenté dans la fleur de l'âge, deux ans avant sa défaite dans la guerre contre la Prusse (1870-1871).
Planche botanique du Néflier (Mespilus germanica) de l'Atlas de Plantes de France de 1891. Malgré son nom latin, le néflier n'est pas originaire d'Allemagne mais d'Asie Mineure où il est cultivé depuis l'an 1000 av. J.-C. Il fut ramené en Europe par les Romains et figura ensuite parmi les espèces recommandées par Charlemagne dans le capitulaire De Villis. Dans le langage familier, « Des nèfles ! » est une expression qui s'emploie pour signifier « quelque chose de faible valeur ». (wikipedia)
Photographie, Gares -- France, Vitraux civils, Arts décoratifs, Portails, Empire carolingien -- 768-814 (Charlemagne), Metz (Moselle) -- Gare
Vitrail représentant Charlemagne dans le salon d'honneur de la gare de Metz-ville (Moselle).
Photographie, Portraits, Gares -- France, Vitraux civils, Arts décoratifs, Empire carolingien -- 768-814 (Charlemagne), Metz (Moselle) -- Gare, Histoire de France
Vitrail représentant Charlemagne dans le salon d'honneur de la gare de Metz-ville (Moselle).
Gravure, Globes terrestres, Cartes géographiques, Colonisation, Caricaturistes, Grandville (1803-1847), Proverbes français, Conquérants, Empire britannique
Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Qui trop embrasse mal étreint !" : La soif de conquête est illustrée par la charge de cartes (Irlande, Chine, Inde, Nouvelle-Zélande, Gibraltar, Écosse).
Dessins et plans, Dix-neuvième siècle, Chemins de fer, Chemins de fer -- France, Dix-neuvième siècle -- Histoire
Carte du réseau ferroviaire français en 1856. Le 11 juin 1842, la loi relative à l'établissement des grandes lignes de chemins de fer ou « Charte » des chemins de fer, fixe le régime des chemins de fer en France et crée un modèle original de partenariat public-privé. L'État devient propriétaire des terrains choisis pour les tracés des voies et il finance la construction des infrastructures (ouvrages d'art et bâtiments). Il en concède l'usage à des compagnies qui construisent les superstructures (voies ferrées, installations), investissent dans le matériel roulant et disposent d'un monopole d'exploitation sur leurs lignes. Le réseau se développe alors rapidement, en particulier à partir du Second Empire. Au milieu des années 1850, il est possible, depuis Paris, d'atteindre Bayonne, Toulouse, Clermont-Ferrand, Marseille, Bâle ou encore Dunkerque ; dix ans plus tard, le maillage du réseau a commencé, avec les premières lignes transversales.
Textes, Journalisme, Journalisme -- Art d'écrire, France (Second Empire) (1852-1870), Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Rire, Joseph Uzanne (1857-1937), Léon-Charles Bienvenu, dit Touchatout (1835-1911), Satires - Juvénal (0060?-0130?)
Portrait littéraire de Léon-Charles Bienvenu, dit Touchatout (1835-1911) le journaliste, par Joseph Uzanne (1857-1937), "Figures contemporaines tirées de l’Album Mariani", Librairie Henri Floury, Paris, vol V, 1900, p. 245-246. 172 mots, cycle 3.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Carrières, Carrières souterraines (exploitations minières), Catacombes, Héricart de Thury (1776-1854), Paris (France) -- Quartier des Grandes-Carrières
Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.